La mort aux trousses

Il faut que je récapitule, sinon je ne trouverai jamais ce que je cherche. Tout dans l’ordre, on va y arriver…


Une créature haute de plus de un mètre, avec le poil gris foncé, presque noir, longue de deux mètres, les crocs a l’air et souillés de sang, avait bondi. J’avais tiré ma dague par réflexe. Je ne savais pas pourquoi. D’habitude j’usais de magie. Cette fois je bondis de coté tandis que la bête était sur moi. Elle me manqua. Je criai pou réveiller le campement, ma dague la main bien que je ne sache pas m’en servir. Déjà d’autres créatures sortaient de derrière les rochers, se relevaient de sous une épaisse couche de neige, et nous fonçaient dessus. Une bondit, je l’empalai avec mon arme, elle me tomba dessus en m’écrasant. Je me dégageai avec peine et me rendis compte que ma magie était bloquée, complètement. Ainsi, je ne pouvais pas lancer de sort. Tout devint clair. Ces bêtes me bloquaient. J’avais juré et rengainé ma dague, plongeant a nouveau pour éviter d’être empalé. En quelques minutes tous étaient mors, ou presque. Il restait un nain, quatre hommes et moi, qui fuyions, juchés sur nos chevaux. Vers le nord, c’était sur, mais nous ne savions rien d’autre. Il se passa une dizaine de minutes de tranquillité, puis une nouvelle attaque, de tous les cotés. Mes camarades, fiers épéistes, étaient tous tombés, sauf le nain. Il se nommait Raëm, et me méprisait. Du groupe, j’étais le seul à ne pas m’être battu, et pourtant j’étais encore en vie. Il était parti seul, de son côté, et moi j’avas continué droit J’avais chevauché une partie de la nuit tranquillement, quand les créatures avaient attaqués de nouveau, et j’avais du fuir, jusqu’a l’arrivée de Kratos.


Maintenant il me faut trouver le nain, ou son cadavre, et Thar Mandes. Je me tourne vers le démon.

-Avez-vous déja vu un Chevaucheur des Arcanes en action?

"Je dois t'avouer que non laiaga..."

Ces armes... ces masamunes... Je les ai récupéréesur el corps ddu diables.
Ces deux armes,cachais une puissance insoupsconné.
a la suie de mon combat victorieux contre le diable, parenis de son nom, je ne conservais que très peu de souvenir, pusi j'avais vus ma fidéle épée, au coté de deux masamunes identique en tout points.
J'étais sorti de la ville dans laquelle j'avais résidé, ainsi avait commencer un périple de plusieurs années.
Je vécus sous la couverture d'un tueur a gage, éxecutais out les contrat a disposition , en rpenant un malin plaisir a détruire les villages par vengeance ou apr simple amusemant.
Au court des missions, j'avais trouvé une cache sure connus de moi seul, j'avais caché mes deux masamunesa l'intérieur, et continua ma vie sans, peu a peu je les oubliai, jusqu'a se fameux jour...

Je fixe un moment le démon. Lui aussi semble perdu dans ses pensées. Des souvenirs difficiles ? Peut-être. Il semble se souvenir, des souvenirs importants en tout cas. Je hausse les épaules, ça ne me regarde pas de tout façon. Je flatte l’encolure d’Ezèna et descends de son dos. Une fois par terre, dans la neige, je tends le doigt et tourne sur moi-même, dessinant dans l’air des arabesques étranges. Dans la neige une flammèche retrace les mêmes arabesques, laissant apparaître une trace rouge incandescente. Quand j’ai fini il y a un pentacle qui semble fait de braise autour de moi.

-Eh bien il faut un début à tout !

Les Chevaucheurs des Arcanes ont cette particularité qu’ils peuvent se mouvoir dans les arcanes elles-mêmes. Les magiciens de Hurle ont celle de maîtriser a peu près toute fore de magie, dont une, ancienne et puissante, qui utilise des formules et de longues préparations. Je récite une litanie en un langage oublié. Autour de moi la neige vole comme soulevée par le vent, mais le vent, justement, est tombé. Je sens mon corps qui part, je suis les Arcanes, je les chevauche…Mon corps disparaît dans une poussière dorée. Le monde défile, je le sens mais ne le vois pas. Je suis énergie dans un monde d’énergie. Je survole monts et vallées enneigées jusqu'à voir un nain et des créatures. Elles n’usent pas de blocage mental, le nain n’est pas magicien. Tant mieux, tant pis pour eux. Les arcanes se déchaînent, soulevant la neige et abattant les arbres, en quelques minutes les Ramirs sont tous morts. J’emmène le nain a moitié mort avec moi, et reviens vers Kratos. J’apparais au centre du pentacle qui disparaît.

-Ce que tu as vu la est assez basique. Voici un nain qui m’accompagnait. IL est…euh…presque mort, mais on doit pouvoir faire quelque chose.

-J'pe l'anesthésier si tu veux... Un bon coup de point dans sa p'tite tête, et hop !

Dit-il d'un air amuser

"Je ne sais aps si on peut faire quelque chose opour lui, il est plus mort que vif..."

je rentrais de mission, mais une force m'avait attiré comme un aimant vers la cache des masamunes...
Un hommes se tenait au centre de la pièces,il étais grand, brun et me fixais de ses yeux d'un bleu glacial
Il me toisait un moment jouant avec mes masamunes, puis me dit amusé:
"Bonjour démon..."
"Qui êtes vous?!"
"Je suis une des réincarnation de l'être que tu a osé tuer, en d'autre terme je suis un partie de ton ame..."
Je restais bouche bée devant la nouvelle, puis réussit a articuler:
"Mon ame... Mais comment?"
"Je vais t'expliquer, quant tu a tuée mon maitre, il ravis ton ame, et la brisée en sept morceaux, puis en un laps de temps infiniment court, il créea sept personne pour accueillir ces fragments d'ame.
chaque partie est attiré apr els autres.
Aujourd'hui, je vais te tuer pour récupérer ton pouvoir!"
Il se rua sur moi, je déguainais mon épée et nous engageames le fer.
Mon adversaire était d'un niveau équivalent au mien, mais au bout de dix minutes de combats je trouvais une faille dan sa garde, et plantais ma lame dan sa gorge.
Il tomba mollement sur le sol, avant qu'un halo doré l'entoure, il se désagrégea, et une boule de lumiere péntra mon corps.
Une voix douce s'éleva, celle de ma femme:
"Kratos, ceci est une partie de ton ame perdue, tu te rapelleras de certain souvenir oublié, et tu pourras manier ses masamunes, tels est le pouvoir léguer par ce premier fragment d'ame... Bon vent mon amour, puisse tue trouver les autre morceaux..."
je m'évanouis, emportant avec moi els dernieres parole de ma chere et tendre...


j'hemergeais comme dan sun reve, pus dit a laiaga:

"sauvons le!"

Je regardai l'orc en haussant un sourcil.

-Mais non! Espèce de barbare! Regarde.

Je pose deux doigts sur les yeux du nain qui n’en croit pas ses yeux. Ils se ferment, il sombre dans l’inconscience. J’examine son corps. Raëm faisait dans les 1m20, avec une barbe et de longs cheveux tressés roux. Il avait une plaie béante au visage, il serait borgne. Il est couvert d’entailles multiples dans tout le corps, sa cote de maille est foutue, il a un bout de griffe coincé dans une plaie entre les cotes. Je passe mes mains sur les plus profondes, elles se referment lentement, mais je m’épuise aussi. Lentement, certes, mais je m’épuise. Finalement il est sauvé, le sang ne coule presque plus. Je crée une flambée magique au creux d’un rocher et décide de camper ici pour la nuit.

-On dort la. Vous êtes magiciens ?

"je suis magicien, amis je n'ai pas ton niveau..."

-Le niveau n’a aucune importance. Il s’agit d’entretenir ce feu magique, qui, justement ne peut être entretenu que par magie, a tour de rôle pendant que l’autre dort. Je prends la première moitié de la nuit, je te réveillerai pour la seconde. Autrement nous mourrions de froid.

"Très bien, je prendrais le second tour de... feu xD"

-moi j'dort pas sinon, Orc gelé !

Il commençait déjà à grelotter

-La solitude me réchaufferas...

Hrpg : J’abrége un peu, désolé d’avoir été si long.

Mes deux camarades vont se coucher, enfin seulement Kratos, l’orc reste avec moi pour monter la garde. Apparemment il ne supporte que très mal le froid. Je hausse les épaules et m’assoie près du brasier magique, le fixant longuement. Je ne m’endors pas, mais ce n’est pas l’envie qui manque. Emmitouflé dans mon manteau de cuir, je ne suis pas touché par le froid, surtout grâce à ma magie, mais ce n’est pas le cas des autres. Au milieu de la nuit, je vais réveiller Kratos, qui prend le second tour de garde pendant que je dors. La nuit se passe sans encombres. Le lendemain, quand je me réveille, l’orc ne dort toujours pas, pas plus que Kratos. Nous déjeunons et empaquetons nos affaires, puis partons prestement vers la ville la plus proche, la capitale, que j’avais pu localiser en chevauchant les arcanes. Le nain dormait toujours. Le voyage ne prit que quelques heures quand les fortifications de la ville apparurent au loin.