La mort aux trousses

Le vent siffle à mes oreilles, fait voleter les pans de mon manteau derrière moi. Calcifer est dans une besace en cuir immunisé au feu qui pend a mon coté, et ne cesse de se plaindre. Moi je serre les dents en espérant distancer nos poursuivants. Ezèna, exacerbée par la peur, ne cesse d’accélérer sans sembler avoir besoin de s’arrêter.

-C’est pas bientôt fini ?
-Aurais-tu peur, démoniaque esprit ?
-Arrête de m’appeler comme ça…Ca me donne l’impression d’être un de ces démons…
-Excuse moi vieux frère, j’y penserai la prochaine fois !

En réalité j’y pense toujours, mais taquiner Calcifer qui prend si facilement la mouche est un de mes passe-temps favoris. Je tourne la tête, les formes grises et indistinctes sont toujours derrière nous, laissant de profondes empreintes dans la neige. Ces saloperies qui m’empêchent de toucher les arcanes et me rendent aussi impuissant qu’un nouveau-né…Des Ramirs. Mes yeux se ferment, je suis transi de froid, les souvenirs remontent à l’assaut.


Il faisait jour, une belle journée, le soleil brillait, haut dans le ciel. La mer défilait en dessous moi, je n’avais qu’à me pencher et je voyais l’eau qui glissait le long de la coque du Sémite, le vaisseau marchand qui me portait jusqu’à la crique de l’Eternité, non loin de la cité fortifiée de Thar Mandes. Je venais ici pour trouver des informations sur…quoi en fait ? Je ne savais pas. Cette « chose » cet artefact puissant qui semblait toucher jusqu’à la structure de la magie elle-même. Je ne savais pas ce que c’était mais je le ressentais au plus profond de moi : un pouvoir puissant était réveillé et je voulais savoir ce que c’était. J’avais commencé par aller à…aïe!

Une brûlure violente me remmène à la réalité. Je me couche sur l’encolure d’Ezèna pour éviter un second coup de griffes. Les Ramirs s’en donnent a cœur joie, et je ne vois absolument pas comment leur échapper. Des paquets de neiges sont soulevés par les sabots de ma jument. Une fois de plus je tente d’user de ma magie, mais rien ne se passe. Qu’ai-je donc fait a ces bêtes pour qu’elles m’en veuillent à ce point ? Car les Ramirs, ces créatures puissantes et rapides, c’est bien connu, ne peuvent pas s’amuser a bloquer la magie a tort et à travers. D’ailleurs les bêtes mourraient rapidement en maintenant cet état de choses. Une bonne dizaine, voire plus, avaient du rendre l’âme depuis le début de la poursuite. Ezèna bondit par-dessus une crevasse, obliqua dans la forêt et slaloma entre les arbres et évitant les congéres.

Collé à l’encolure de la jument, je réfléchis. Soudain ma stupidité m’apparaît.

-Calcifer ?
-Quoi ?
-Ces bestioles c’est comme des gros loups non ?
-Un peu oui…pourquoi ?
-Les loups ont peur du feu !

Calcifer ronchonne, comme à son habitude, mais il est bien forcé de se plier à mon raisonnement. Je l’attrape dans ma main, pas plus gêné que ça par le feu. Mais je n’ai pas le choix, si je veux éloigner les loups il faut me servir de lui, sans qu’il ne touche la neige, sinon il s’éteindrait…et moi avec lui. Ezèna bifurque et sortit de la forêt. Nous sommes à découvert, les Ramirs arrivent de tous cotés. Je tends Calcifer à bout de bras, il fait reculer les assaillants mais ils ne battent pas en retraite. Cependant cela nous laisse un répit. Je vois un défilé au loin, je m’y engage, un cul de sac, large de deux mètres. Je descends de ma monture et me colle au mur du fond. Je ne peux plus reculer. Enveloppé dans mon manteau, grelottent et claquant des dents, je reste debout en regardant dans les yeux les Ramirs qui n’osent pas avancer. Le vent et la neige qui tombe ne font pas que du bien au démon, mais c’est ça ou la mort. Il n y’ a aucune branche morte a proximité, je n’ai qu’a attendre…Me souvenir…


J’avais commencé par aller à la cité de Tenebria, que je connaissais déjà. Il était cependant impossible d’y trouver quoi que ce soit d’intéressant. On parlait d’un pouvoir ancestral, qui se serait réveillé pour une raison inconnue. Personne n’a rien pu me dire d’intéressant. Déçu, j’étais parti vers les terres des orcs. J’avais une entière confiance en ce peuple, et leur science était des plus étonnantes. J’arrivai donc rapidement dans la ville de Dabatain, qui était celle, je l’avais appris plus tard, ou j’avais atterri lors de ma quête ou j’étais devenu magicien de Hurle. Là-bas j’avais cherché les chamans avec qui j’entretenais d’excellentes relations. Je les avais questionnés, et eux avaient pu m’apporter des réponses concrètes. Le pouvoir émanait d’une bague, puissante et unique. C’est tout ce que l’on avait pu me dire. Il me fallait trouver le porteur. Malheureusement les orcs n’avaient pas pu e dire qui la portait, ni où il se trouvait. On ‘avait conseillé d’aller voir Muradin le Roi de la Montagne, l’oracle nain. J’avais remercié mes convives et avais embarquée vers la crique de l’Eternité.


Maintenant je doute de trouver cet oracle un jour. Les Ramirs ne lâchent pas l’affaire. Trois déjà sont morts en maintenant le blocage mental. Il en reste dix-sept, je les ai comptés. Il n’en viendra pas d’autres, je le sais. Et je suis puissant, il en faut quatre pour me bloquer complètement. Si je peux attendre _un peu, gagner du temps…peut-être...Je suis si fatigué…Dormir ! Je veux dormir ! Une vois me souffle d’ouvrir les yeux...C'est dur...

Je me posais devant l'humais suivis de mon alliés, el voyage avait durer plus de temps qu'il m'en fallait, mais il était long.
Je regardais la scene plus qu'étrange, puis me posais rapidement et jetais un coup d'oeil a l'homme tout en déguainant ma lame quise couvrait déja de flamme blanche, et lui dit un léger sourire au lèvres:


"J'ai était long?"

Une voie résonne dans la nuit, précédée du sifflement caractérisant une arme qui sort de son fourreau. J’ouvre les yeux à grand peine. Il y a un homme devant moi…Non, un age…Je suis mort ? Il a les cheveux rouges et des ailes multicolores…belles…Non, je ne suis pas mort. Les anges ne se battent pas. Les morts ne souffrent pas. Tenant toujours Calcifer dans mes mains je regarde l’ange, étrange. Il me parle comme si nous nous connaissions…

-Tu arrives au bon moment. Tu m’aides a me débarrasser de ces bébêtes ?

"En effet, mais si tu m'aider il n'y aurait point de refus."

mon épée siffla, un monstre tomba a terre sectionnais en deux, un geyser de sang s'éleva de la blessure.

Les bêtes se retournérent vers l'age pour l'attaquer. Ce faisaint elles se déconcentraient. Grave erreur face a moi. Je lachai la bride a ma magie. En moi se répendit la pussance, et je poussai sur la barrière mentale. Elle résista, mais la plupart des créatures furent déconcentrés. L'un d'entre eux tomba de fatigue.

-Je fais...de mon...mieux...

"Je vois... sa..."

Une boule de lumiere partit vers un monstre qui explosa sous le choc, un autre finit empaler sous le fil de mon épée.

A nous deux nous fimes céder la barrière magique. La puissance déferla en moi. Il restait... une dizzaine de bêtes. Je tendis la main, une sphère de feu en fit disparaitre deux dans un brasier, un troisème qui me sautait dessu eut tous les os brisés, mais il me eprmcutta quand memee, et je tombai sous son cadavre.

-Humpff...

Solitaire, Anarzael les suivait de prêt. Il vit alors un tas de créature qu'il ne conaissait pas. Il eut peur lorsqu'il vit que Kratos était parmis eux, dans une forme d'Ange.

"Hep là bas! (cria-t-il à l'adresse de Laïaga et Kratos) qu'est-ce que c'est que ces créatures"

Je vis une personne que je ne connaissais pas arrivr. Pale et chancelant, j'achevai les derniers monstres et lui fis un clin d'oeil.

-Des cadavres!

je souris a mon aolytes et lui dit:

"Le derneir et pour toi..."'

Anarzael vit le dernier qui était déjà en soumission. Anarzael tenta de lui trancher la tête, mais moins habile que ses alliés, il manqua de peu car le monstre l'évita. Anarzael fit un bond en arrière et chargea. Cette fois-ci il ne le manqua pas.

"Ouf! J'ai eu chaud!"

"Non c'étais bien,"

je me tournais vers laiaga et luit:

"Bonjour, jeune humais j'ai le plaisir de te dire que j'ai connu ton arriere arriere arriere grand pere."

Je regardai l'ange et ui fis un d'lin d'oeil.

-Bonjour sieur ange j'ai le plaisir que je suis le fils de Dieu en personne.

Mon sourire s'effaça et je lui dit:

"Je ne suis pas un ange..."

Je redevins sérieux et le reardai longuement.

-Je sais. Dis ce que tu as a dire.

Je souris durement et lui dit:

"Aussi percepicasse que ton grand pere... Je suis un démon d'une classe supérieure, mais j'ai perdu ma mémoire, embettant pour un démon de ma trempe..."

-Un démon majeur...

Je soupirai et me passai une ain dans les cheveux.

-Que sais-tu de mon grand-père?

DragonFly surgit de nul-part, derriére le jeune homme, il pointa Kratos du doigts et lui demande:

-Qui êtes-vous... Que faite vous ici !?

"Rien sinon que l'on combattu ensemble maint et maint fois, et dites moi quivous êtes avant que ej vou dise mon nom orc?"

Il hésita à dire son vrai nom avant de répondre:

-J'suis DragonFly, Le général en chef à l'armée de l'honneur !
et toi, t'es Qui pour me parler comme ça ?

L'orc semblait pas être très content

Je regarde l'orc, le démon et l'apprenti du démon.

-Messieurs je n'ai pas que ca a faire. Je vous tire ma révérence.

Je passe une mainsur Ezèna, elle fut aussitot réchaufée. Je grimpe sur sondos et nous partons vers mon but...